Conclusion

Un homme apparut au coin de la rue, il s'approcha d'Augustine et Raphael qui décidement ne parviendraient pas à avoir une minute de tranquillité.
"Sir Sorel, excusez moi, je n'ai pas pu être plus rapide..."
"Ce n'est pas grave Sir Tee-Show, nous n'avons eu aucun blessé grave"
Répondit Raphael
A ce moment, Pang Tong réapparut, Léandre sur son dos, inconscient.
"Quel abruti ... Je lui ai dit de ne pas la mordre."
Dit-il de son air toujours calme et serein.
"Que s'est-il passé ? Vous avez réussi à mettre Valentin Arkham en torpeur ? Bien joué...qui a fait cet acte digne d'un héros ?"
Demanda Sir Tee-Show.
"Vous voulez dire, digne d'un stratège du Shuhan"
Rectifia Pang Tong.
Sir Tee Show regarda Augustine.
"J'ai l'impression de vous avoir déjà vue Madame..."
(Si tu es déjà allée au Bloodlust, tu reconnais le Barman)

La vampire pensait qu'ils allaient pouvoir reprendre leur route, mai voilà que... Un nouvel opportint. Augustine regarda le nouveau avec mécontentement. Elle soupira mains sur les hanches. La mine contrariée elle les écouta distraite.

Quand on s'adressa à elle. Ce gêneur avait déjà croisé sa route. Elle le connaissait du bar. Mais sans plus.

"J'ai l'impression de vous avoir déjà vue Madame..."

-"Possible. Comment se fait il que vous ayez été ralentit."

Une question subite et moqueuse. Elle lui en voulait de les intérrompre à son tour. Il pairait de sa mauvaise humeur tempis pour lui. Son regard était rieur lançant un discrét défit.

A ces mots, le barman éclata de rire :
"AHAHAHA ! Alors là sir sorel toutes mes félicitations ! vous avez touché le jackpot ! cette fille est plus insolente que toutes vos conquêtes précédentes ! et ca doit faire beaucoup !"
Puis, son visage se crispa, il loucha et pencha la tete légèrement, puis reprit avec une voix toute à fait métamorphosée :
"Autant s'en réferer à des babouins ou des choux de bruxelles...."
Raphael sauta sur l'occasion :
"Pauvre edward... il ne sait meme pas ce qu'il dit.... venez augustine, à la base j'avais consacré cette nuit à vous..."
Il la prit par l'épaule et l'entraina loin du groupe.

Augustine fussilla Edaward de ses yeux sombres. Elle ne répondit pas à son compagnon de nuit. Ne bougrant pas d'un poil. Il l'avait volontairement provoqué ce petit...
Il ne la connaissait pas ! Et Raphael qui essayait de la faire partir. D'une voix calme et dure elle demanda ironiquement.

-"Qu'avez vous dit ?"

Elle s'était rapporchée en parlat. Sans une hésitation. Une lueur méchante brillait maintenant dans ses yeux. La bête raisonnait. La vampire détestait qu'on la traite ainsi...

Le barman fronça les sourcils et dit d'une voix rauque :
"t'approche pas d'moi p'tite pute ! La bière c'est six euros ! si t'as pas d'argent casse toi ! et puis d'abord, qu'est-ce que je fais là ? où est mon bar ? Sorel ! C'est toi qui m'as amené ici ! Vieille raclure pourrie ! T'avais rien de mieux à faire ? "
Il eut un sourire affreusement sarcastique :
"Comme... sauter cette catin ? Par exemple"
Dit il en prenant les joues d'augustine d'une main, les serrant fortement, les yeux plongés dans les siens, il découvrit ses larges canines.
Raphael dégaina sa rapière dans un grincement de fer furtif et la pointa sur le front du malotru.
"Vous allez immédiatement vous accroupir et présenter vos excuses à Dame Augustine que vous venez d'offenser à l'instant"
Dit il d'un ton posé et furieux à la fois
C'est alors que l'inimaginable se produisit, alors que raphael venait de rassembler toutes ces forces pour utiliser un pouvoir de domination, le barman, au lieu de s'éxecuter comme il l'eût dû, cracha du sang au visage d'augustine aggravant davantage la situation

"Comme... sauter cette catin ? Par exemple"

Les yeux de la vampire lancérent des éclaires. Pour qui se prenait il ! Elle sentit une main forte lui saisir les joues. Il allait beaucoup trop loin. Temps pis pour les cenvenaces. Que le prince aille au diable. Elle ne se laisserait pas insulter de la sorte.

"Vous allez immédiatement vous accroupir et présenter vos excuses à Dame Augustine que vous venez d'offenser à l'instant"

L'offensée n'entendait pas son "protecteur". Elle ne faisait que défier le barman du regard. Voyant jusqu'ou il oserait aller... De toute maniére la vampire avait fait son choix. Ce tas de chair ne s'en sortirait pas. Ou en tous les cas très différent de ce qu'il connaissait.

Sa dirniére erreur fut faite. De la longue manche de sa robe Augustine laisa glisser sa dague d'argent. Dans un geste sur et précis elle la fit pivoter vers la carotide du fautif. Avant même qu'il n'est le temps d'analyser le mouvement, la lame se planta fermemant dans sa nuque.
La vampire eu un sourire vicieu en l'enfonçant sans une hésitation dans la chair.

-"Avez vous donc oublié qu'un "CATIN" ne sort jamais sans protection ?"

Sans attendre de réponse elle sortit les crocs. Elle pouvait le tuer. Là maintenant.

Le barman arrêta de loucher, se tint droit, releva la tête et se recoiffa, il prit un air sérieux :
"Que se passe t'il ? pourquoi essayez vous de m'assassiner ?"
Il avait inévitablement utilisé un sort d'invulnérabilité pour se protéger.
Le Nosferatu se chargea de répondre :
"Vous venez de manquer de respect à cette demoiselle d'une telle manière que ça aurait valu la peine de mort dans mon pays..."
Le barman eut un regard désolé, il relacha son emprise et dit d'un air dépressif :
"je vous prie de m'excuser...je ne voulais pas..."
il baissa les yeux.
Raphael rengaina son épée et dit d'une voix pourvue de restes de sa colere :
"Il faut excuser notre ami edward, il souffre de schizophrénie depuis la disparition de son frère"

"je vous prie de m'excuser...je ne voulais pas..."

Augustine fut surprise par ce changement aussi subite que complet. Elle relacha lentement la pression. Puis convaicue par le regard peiné du coupable rangea finalement son arme.

Elle observa son compagnon l'intérogeant de son regard sombre. En se détendant à son tour il lui apprit calememant.

"Il faut excuser notre ami edward, il souffre de schizophrénie depuis la disparition de son frère"

La vampire encaissa l'information en silence. Bien donc tout cei n'était pas voulut... Son visage retrouva doucement son teint d'albatre. Elle attrapa doucement le bras de Raphael en déclarant plus gentimant au fautif.

-"Je vous excuses Edward je fais confiance aux parole de mon guide... Mais apprenez que je suis malgré tout rencuniére. Elle se trourna vers l'ami du Prince avec un sourire. Nous y allons ?"

La suite se trouve dans "repos et intimité "