Les rues de Paris

Les rues de Paris sont sales, des ordures trainant dans les ruelles, au milieu des clochards et des punks. Le crime y est très présent, et la police ne fait rien. la plupart des batiments des quartiers pauvres disparaisent sous les grafittis, pendant que sur les grandes avenues, les hautes tours sont d'une propreté quasiment surnaturelle.

Frédérique se réveilla avec la certitude qu’il n’aurait jamais du pouvoir le faire… Pas après ça… Il se trouvait dans une petite pièce sombre, apparemment celle d’un de ces hôtels miteux que l’on trouve parfois dans le vieux Paris…
Mais que s’était il passé déjà ? Il y avait bien cet homme, ce visage, puis, le flou, rien, juste cette impression de vie s'enfuit, goutte à goutte… Et ce liquide, plus divin que le plus divin des nectars…
Frédérique se redressa rapidement et traversa la chambre… Plus personne… Il réfléchit un instant… Maxence, voilà son nom… Ils s’étaient retrouvés pour… Pourquoi déjà ? Pour parler théâtre ! Soudain, la mémoire lui revint comme une vieille blessure qui subitement se réveille…
Les Vampires, oh mon Dieu, tout devint clair!
Le jeune homme se rassit sur le lit, tétanisé… Les heures passèrent, chacune longues comme des centaines de vies puis, Frédérique prit conscience du bruit de la ville qui battait comme un cœur dehors, juste sous la fenêtre de la chambre…
Soit, on lui avait donné l’éternité et le sang comme fardeau, il contait bien leur montrer alors ce qu’était que d’être un vrai damné tout comme il avais jadis montré aux humains ce qu’était l’existence… Classe, fascination et décadence, que la longue route commence !
Il sorti tout en se demandant déjà quel goût pouvait avoir le sang humain…
Il le découvrit très vite lorsque les portes de l’ascenseur s’ouvrirent et qu’il se retrouva soudain nez à nez et avec cette jeune fille si frèle…

jeune fille frêle : Oups ! excusez moi

*s'engage à contourner Frédérique*

Frédérique place son bras devant elle.
"Excusez moi mais je crois vous connaître… Cette impression n’est elle pas partagée ? Oui, attendez… Ces yeux, ceux de votre mère peut-être. Ah, ça y est j’y suis, ce parfum, cette odeur !"
Tout en tenant son discourt, le vampire s’était rapproché de sa proie tout en tachant de la rassurer par un ton et des gestes mesurés. Soudain, il entraîna la jeune fille dans l’ascenseur, l’amena près de lui en passant une main autour de ses épaules et, tout en appuyant de sa main libre sur le bouton "réez de chausser", plongea ses lèvre dans son coup si délicat. Elle se débattit un court instant mais sans grand succès. Frédérique ne s’en aperçut même pas, trop omnubilé par ce met esquit que la providence venait de lui offrir. Les portes de l'assenceur finirent par s'ouvrirent...

*Valentine rattrappa Augustine, se plaça devant elle et lui demanda d'un air menaçant :*

Valentine : " Que faisais-tu avec mon fiancé catin ? "

[HJ: Ha enfin un peu de RP ! ]

Alors qu'elle allait tourner à droite en écoutant distraitement le bruit de ses pas sur les pavés, la jeune femme sentie une main la saisir fermemant.
La propriétaire de cette main qui était cette "chére Valentine" se plaça devant elle en la jaugeant menaçante. Augustine ne put empêcher ses lévres délicates esquiser un sourire à la question de la vampire.
Mais qu'es ce que cette rousette allait bien s'imaginer.

Avoir fait sortir la jeune femme de ses méditations, n'était peut être pas une bonne chose... La vampire détestait qu'on la brusque ainsi, surtout pour de la jalousie enfentine.
Cependant l'idée de faire enrager cette "gamin" la tenta. Elle décida donc de la titiller un peu.

-" Que penses tu que deux vampires consentants, peuvent bien faire enssemble au juste ?"

*Valentine prit un air ahuri*
"Tu n'as pas de notion de vinculumm ?"
*elle la dévisagea de manière provocatrice, puis, prit une position de supériorité mêlée à une fausse indifférence*
"Ha ! Sans soute es-tu une nouveau née ? Dans ce cas ce n'est pas ta faute si tu es si naïve"
*elle émit un rire forcé*
"Vois tu jeune chiotte, il arrive très souvent aux vampires amoureux de boire mutuellement leur sang, et généralement, Valentin et moi y sommes consentants"
*Puis elle prit un air menaçant*
"Mais ne te fais pas d'idées la dessus, son sang n'est destiné qu'à ma gorge"

"Que te ferais-je si jamais par le plus grand des hasards tu souillais son sang de tes ...lèvres" *dit elle avec un rictus*.
"Pfft ! Ne me demande pas d'imaginer l'impossible, mais si tu essayais je te jure que je te le ferais payer de ta non vie ! ah ah ! Oui ! de ta non-vie ! Bien, je te laisse, je n'ai rien à obtenir d'une personne aussi méprisable et inutile que toi ! Tu me fais perdre un temps précieux, il se peut qu'une de ces autres vendeuses de corps n'essaient de corrompre mon Valentin..."
Puis elle se dirigea à vive allure en direction du bloodlust tout en utilisant sa télépathie :

Spoiler:

Tout d'un coup, un individu à l'air charmeur sortit d'une maison et avisa Augustine :
"Bonsoir belle enfant, vous tirez mauvaise mine, auriez vous un quelconque problème ?"

Action interdite : Ignorer l'individu

(Désolé j'aurais du le préciser mais il s'agit d'un Vampire, mais une morsure est aussi bienvenue pour les vampires que pour les humains)
-Pardonnez moi gente dame de ne m'être présenté plus tôt.
Il prit délicatement la main d'Augustine pour l'embrasser.
-Mon nom est Raphael Sorel, je suis agé de 219 ans et je suis chancelier du prince depuis qu'il a été élu au pouvoir.
Je suis soulagé de vous savoir bien portante et pour fêter ça, je propose, (que nous allions fêter ça ) que nous allions nous abreuver auprès de quelconque calice, qu'en dîtes vous noble damoiselle ?

(hp d'accord merci. ça ne fait rien. Je m'adapte. )

Tient drole de rencontre. Le chancelier, dans ces rues.
Ce n'est pas elle qui allait s'en plaindre. Mais rencontre un tel personnage de la sphére des vampires était assez inattendu.
Il gardait cette attidude charmante allant mêm jusqu'à lui rappeler un chevalier. Il était certain que ce comportement des plus plaisant, la mettait dans une belle humeur.
Augustine en oublia presque sa mauvaise rencontre avec cette vipére de Valentine. Et puis pourquoi ne pas profiter de ce chamant "frére" pour passer un bon moment.

La vampire observa Sorel de son regard perçant. Tout en y laissa apparaitre sa bonne humeur. La proposition était des plus alléchante. Surtout en compagnie d'une telle créature...
La vampire sourie, un sourire indéchifrable. Et d'une voix un peu séductrice elle répondit.

-"Ravie de vous connaître sir Sorel. Et je suis également heureuse d'accpté votre aimable proposition..."

Enchanté que la belle daeva ait accepté sa proposition, Raphael répondit d'un air enthousiaste :
-Oh non ma belle, tout le plaisir est pour moi, on ne rencontre pas des personnes aussi sublimes que vous tous les jours, mais, il ne me semble pas que vous m'ayez dit votre nom, allez y, je suis persuadé qu'il est aussi délectable que la vue de votre ravissante silhouette.

Raphael prit une voix et un regard pleins d'admiration.
-Augustine de Lounar, magnifique ! Allons commençons à marcher et s'il vous plait dites m'en davantage sur votre belle personne, je suis certain que vous avez d'innombrables qualités, à moins que vous ne préfériez que je vous parle d'abord de moi, je vous accorde l'opportunité de choisir ce qui vous conviendra le plus ma jolie.

Le Chancelier suivit l'hématophage et commença :
-Eh bien, je date de l'epoque des romanciers, belle epoque je dois dire, que de bons souvenirs, je suis entré dans l'invictus en 1945, je n'etais alors qu'un molosse du prince, je commençais tout juste le violoncelle, un sublime instrument qui me rappelle très souvent ce trésor qu'est le corps d'une femme.
Aussi Je suis escrimeur depuis mon plus jeune age, avant même de devenir un vampire je pratiquais déjà l'épée et le fleuret, il faut dire qu'à présent je les manie beaucoup mieux, mais j'ai plus de facilités à utiliser le sabre.
A part ça je suis millionaire et j'habite le manoir de la ville de Montrouge, je me suis enrichi grâce à mes talents de musicien justement, sinon je crois que c'est tout ce qu'il y a d'important à savoir chez moi.

-Voyons, comment quelque chose de fade pourrait résulter de la bouche d'une personne aussi raffinée que vous ? Je suis sur que vous avez un passé merveilleux !

-Honoré de Balzac, un auteur réaliste il me semble, à vrai dire j'ai préféré Victor Hugo et Charles Baudelaire, j'ai d'ailleurs été un ami de ce dernier, cependant, il est vrai que Mr De Balzac avait un réel talent.
Nous avons donc vécu à la même époquue sans même le savoir, amusant.

[Terminé en sénar Rp papier hier]